Yoshii avait cette nuit une nouvelle fois brillé, mais pas parce qu’il était sur scène, non ce n’était pas ça qui avait fait qu’on l’avait encore une fois remarqué. Il avait brillé juste parce qu’il avait raccompagné une jeune femme dans la nuit. Personne n’avait su la véritable histoire, mais voilà que dès son réveil, il vit dans la presse locale une photo d’eux. Il apprit alors que cette femme qu’il avait raccompagnait était une fille avec un nom bizarre, et elle était journaliste ? Elle dévoilait ainsi les dix pires choses qu’Yoshii avait pu faire. Il avait lu l’article en pâlissant toujours plus. Mais le pire était à venir, le jeune homme le savait, cela allait encore barder. Il se dépêcha donc de s’habiller pour aller au bureau. Oui, il devait tout expliquer au patron avant de se faire virer. C’était la cinquième fois que la boîte essuyer un scandale à cause de lui. Il avait toujours pu s’en tiré grâce à sa chance, mais est-ce que sa bonne étoile suffirait ?
Il avait le journal sur le bras et sans même dire à bonjours il fonça tête baissé vers le bureau du directeur. Il devait pas craquer, il devait rester calme sinon son directeur allait lui rire au nez c’était évident. Il entendit alors la secrétaire l’appelait. Ouille, impossible de faire demi tour, voilà que le grand patron est prévenu qu’il est là. Qu’il est là ? On l’attendait ? C’était évident, à chaque scandale il courrait présenter ses excuses à son patron, puis à toutes les personnes avec qui il travaille. Il fit quand même une petite moue toute mignonne, il était si prévisible que cela ? Enfin, ce n’était pas le moment de se poser des questions. Il arriva près de la porte et il posa sa main sur la poignée. Il devait le faire alors il prit une grande inspiration et entra dans le bureau. Il s’inclina alors en voyant le siège de son patron retourné.
Il entendit la porte se fermer, mais il restait courbé en angle droit. Comme il était dans cette position, il put voir les couture de son maillot à l’extérieur mais surtout l’étiquette qui lui chatouiller le menton. Non… Il n’avait pas fait ça quand même ? On dirait bien que si. Il avait honte, mais ce n’était rien comparé au pantalon noir totalement tâché par la boue d’hier soir. Il voulait un nouveau scandale ou quoi ? Il ferma les yeux espérant que son patron, qui a pourtant l’œil perçant ne remarquera rien !
Il avait le journal sur le bras et sans même dire à bonjours il fonça tête baissé vers le bureau du directeur. Il devait pas craquer, il devait rester calme sinon son directeur allait lui rire au nez c’était évident. Il entendit alors la secrétaire l’appelait. Ouille, impossible de faire demi tour, voilà que le grand patron est prévenu qu’il est là. Qu’il est là ? On l’attendait ? C’était évident, à chaque scandale il courrait présenter ses excuses à son patron, puis à toutes les personnes avec qui il travaille. Il fit quand même une petite moue toute mignonne, il était si prévisible que cela ? Enfin, ce n’était pas le moment de se poser des questions. Il arriva près de la porte et il posa sa main sur la poignée. Il devait le faire alors il prit une grande inspiration et entra dans le bureau. Il s’inclina alors en voyant le siège de son patron retourné.
« Je suis désolé monsieur… »
Il entendit la porte se fermer, mais il restait courbé en angle droit. Comme il était dans cette position, il put voir les couture de son maillot à l’extérieur mais surtout l’étiquette qui lui chatouiller le menton. Non… Il n’avait pas fait ça quand même ? On dirait bien que si. Il avait honte, mais ce n’était rien comparé au pantalon noir totalement tâché par la boue d’hier soir. Il voulait un nouveau scandale ou quoi ? Il ferma les yeux espérant que son patron, qui a pourtant l’œil perçant ne remarquera rien !